Tiens, je vais te raconter une histoire. Il y a beaucoup de bruit autour, ça reste des concentrés, ça fait une ambiance, ça fait une ambiance.

Alors. Je suis parti faire une fête. C'était l'été. Je suis parti. J'ai pris le train. C'était même pas dans ma ville. Je suis allé dans une ville pas loin et on a fait la fête toute la nuit. Et comme c'était l'été, il a fait jour très tôt. Et la dernière étape de la soirée, c'était comme un dance floor dehors sur une place de la ville. C'est un peu comme la fête de la musique, mais c'est les fêtes de la fête de Gand. Voilà, c'est en Flandres. C'est pour le côté un peu exotique. Donc évidemment, comme on est en Flandre, tout le monde parle flamand. Beaucoup. Il y a un petit truc un peu guttural comme ça dans cette langue.

Et moi je trouve ça un peu excitant parce que c'est exotique, justement. J'ai l'impression d'être dans un autre pays. Et du coup, il est très tôt, on danse, le soleil se lève, il fait déjà très chaud. Moi je porte un petit short qui fait un peu jupe culotte comme ça, qui a un peu, qui est un peu flou parce que, clairement, c'est très facile de passer une main sous mon short. C'est un peu comme une mini jupe ce mini short. Et je me rappelle que je rencontre quelqu'un sur la piste de danse. Et on danse, on danse. Et puis bon, m'avait dit, très excité. Il commence à me toucher et à utiliser ses mains par-dessous mon short. Et en fait, c'était très facile de pouvoir accéder à ma chatte parce qu'en fait, c'était presque... J'étais, oui, c'était très accessible avec ce petit short. Clairement.

Et du coup, on était entouré de plein de gens en train de danser. C'était un peu le matin et je me retrouve là avec ce gars que je connais pas. Et il commence à me mettre des doigts. C'était tellement excitant parce que je me retrouve là et il y a un truc de fou qu'on voit ce qu'on est quand même en plein jour. Et il y a plein de gens autour de nous.

Et puis moi, je pensais vraiment qu'on allait rentrer tous les deux et qu'on allait poursuivre la soirée qui en fait était déjà 9h du matin. J'étais jeune à ce moment-là. Je pouvais faire la fête très, très tard, très très tôt. Et puis finalement, la chose assez amusante de cette histoire, c'est qu'en fait, alors je ne sais plus comment, mais un autre ami avec qui j'étais me présente, un autre ami qui se trouvait être aussi un amant, me présente une femme qui arrive et en fait je sais très bien qui c'est cette femme parce qu'il m'en a déjà parlé.

Elle s'appelle Ellen, Ellen parce qu'elle est flamande. On dit Ellen et en fait c'est une amante à lui. Il m'en avait déjà parlé. Et là, tout à coup, cet autre homme avec qui je m'étais retrouvée à danser quelques temps plus tôt dans ce même endroit, sur cette place de cette ville, je pars complètement du paysage et je me retrouve avec Ellen et ce gars, cet autre gars. Et en fait, c'est avec eux que je poursuis la soirée et ça pourrait s'arrêter là. Mais non, parce que du coup, Londres, toujours cette... Ce même matin, on se retrouve à chercher un endroit où on peut se... tous les trois et on est en pleine ville et c'est le matin.

Et on trouve... Attends, c'est un... ordre. C'est un hall d'immeuble ? Ou alors est-ce que c'est un hall d'immeuble ? C'est le sas d'une banque. C'est un dimanche, tu vois. Et donc on va là vous disant : 'Bon, là, forcément, il y a un moment donné où on risque de se faire virer de là.' Et en plus, c'est très excitant.

On est hyper excité parce qu'on sait, en fait, on sait déjà qu'on se plaît parce que moi je faisais déjà régulièrement du sexe avec lui et elle aussi. Et elle et moi on s'est rencontré instantanément. On s'est dit : 'Wow, ok.' Du coup, il y avait un truc instantané, il faut qu'on trouve un endroit et aucun de nous n'était dans sa ville, donc on n'avait nulle part où aller.

Encore une fois, pas de problème puisque c'est l'été, c'est chaud, on peut être dehors. Donc finalement, on a fini par se faire virer de ce petit sas et donc on est dans la rue et on déambule. Il y a encore beaucoup d'étapes de fin de soirée parce qu'on va finalement chez des amis à lui, dans une maison où c'est un petit peu en after et on va très très vite. On trouve une chambre pour pouvoir continuer nos petites affaires et je me rappelle qu'on commençait tout juste à se chauffer, à se déshabiller. Je me rappelle qu'on était un peu en sandwich tous les trois les uns sur les autres. Et là, quelqu'un rentre.

Et en fait c'est... Mais en fait c'est la personne dont c'est la chambre et qui nous hurle dessus en flamand. Donc clairement, moi j'ai compris, on a tous compris que ce n'était pas... On se dit 'ok, pardonnez-nous'. De toute façon, on se fait un peu virer de cette maison parce que c'était la chambre où il ne fallait pas être.

Et finalement, on finit par trouver un endroit où là on se dit 'non mais là...' Alors non, j'oublie une étape qui est quand même très très cocasse, c'est qu'on s'est assis sur un banc public dans la rue. Et effectivement, je me souviens que c'est un peu flou. Mais il y a des idées, des bribes de souvenirs. Alors je pense à elle, elle commence à me lécher, lui me roule des pelles et on est là... Mais je me dis mais enfin ! Mais on est en pleine rue, sur un banc ! Si quelqu'un arrive... vraiment en ville, quoi ? C'est absurde. Et donc bon, quand même très très excitant. On peut pas, on peut pas continuer, c'est pas possible. Et c'est là que... Oh là là ! Il n'est pas du tout attentif à mon histoire. En plus, c'est le... C'est le dernier chapitre. Je sais, c'est très long pour moi, mais c'est pour ça. J'ai hâte.

Que ça enregistre. On n'a pas le choix. Je continue et c'est le dernier chapitre. Pardon.

Le dernier chapitre, c'est que finalement, on a trouvé un chantier.

Et là, on voit cette maison en construction et on se dit 'ok, il y a moyen que là personne va nous embêter'. Donc on rentre et clairement c'est une maison en chantier donc il y avait juste une dalle en béton, mais à peine... à peine on a poussé un petit grillage pour rentrer dedans. Et donc on s'est retrouvé là à faire du sexe tous les trois, dans cette maison en chantier et... Il faut dire qu'on a gardé... tout ça un petit peu fait mal, un petit peu râpé les fesses, c'est le béton. Tout ça, c'est... On ne dit pas que c'était pas, c'était pas très confortable. Elle, elle a perdu sa culotte. Je me rappelle, il y avait un petit sujet comme ça, c'est dit.

Et puis après, quand même très fatigué parce qu'il était quand même très très très très tôt. Donc on est allé se poser dans un parc et on a admiré nos blessures de guerre.

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Colette
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