Salut, c'est Colette. Jolie brune qui aime goûter aux plaisirs de la vie.
Tôt ou tard, avec un garçon, après une fellation digne de ce nom, on devient toute l'avaleuse de quelqu'un. Avec mon mec, je n'avale pas. Non, parce que je n'en ai pas envie. En fait, c'est lui qui fait un blocage. Il trouve ça sale, dégradant. Je n'insiste pas, parce que, bon, quelque part, ça m'arrange bien. Et pourtant, dans certaines conditions, c'est quelque chose qui m'excite terriblement.
C'est vrai, s'il y a des hommes avec qui cette pratique peut nous répugner, il y en a d'autres avec lesquels on ne se pose même pas de questions. Et on avale tout. Goulûment, voire... on en redemande.
Au début de ma sexualité, j'étais curieuse. Et c'est moi qui demandais à mon copain de l'époque de jouir déjà dans ma bouche. Je voulais voir comment ça faisait. La texture ne m'a pas trop plu, et j'ai tout craché. Je me suis aussi rincé la bouche, car le gars ne voulait même pas m'embrasser.
Et puis, les années ont passé, je suis tombée sur un type plutôt dominateur, dont la sexualité était très inspirée par la pornographie. À chaque fois que je le suçais, il voulait jouir dans ma bouche. Je crois qu'il était persuadé que j'aimais ça. En fait, ça me dégoûtait plus qu'autre chose. Mais... il y a eu un déclic.
Il se branlait tout en me caressant, et quand je lui ai dit que j'étais au bord de l'orgasme, il m'a enfoncé son sexe dans la bouche. Et j'ai senti ses longs jets chauds couler au fond de ma gorge, tandis que j'étais en pleine jouissance. L'association des deux était... ça m'a particulièrement excitée, et je me suis dit que si à chaque fois que je jouissais, il me faisait avaler son sperme, je finirais par y prendre goût, et je pense même que j'en redemanderais. C'est exactement ce qui est arrivé.
Tout est question de personnes, tout est question de contexte.
Je me rappelle d'un week-end à la campagne, il n'y a pas si longtemps que ça. C'était un Anglais qui vivait et travaillait en France depuis des années. Il m'avait draguée un soir dans un pub à Paris, et nous nous étions revus, après quelques semaines de sexe effréné chez lui ou chez moi, dans mon studio d'étudiante. Il avait voulu m'emmener en week-end. Il occupait un poste à responsabilité dans je ne sais plus quelle grosse boîte, et il était blindé de thunes. J'ai dit ok, et le week-end suivant, il est venu me chercher dans son cabriolet. C'était plutôt classe.
Après une heure de route, on est arrivés dans un domaine en Bourgogne, un genre de château dans lequel il avait réservé une chambre. À peine avions-nous franchi le pas de la porte, qu'il s'est jeté sur moi comme un enragé. Nos ébats étaient très excitants. Sauf qu'en général, il manquait un peu de douceur. Et ça ne me plaisait pas toujours. Il me mordait, me triturait les seins, me pinçait les fesses. Mais pour le reste, les positions par exemple, ça restait plutôt classique.
Le premier soir passé, on a baisé comme des fous. On s'est endormis, chacun de son côté. Pour moi, il ne s'agissait pas d'une affaire de sentiments. Ce qui m'attirait chez lui, c'était sa prestance, son physique de sportif, le charisme sexuel qu'il dégageait. Mais lui, il ne l'entendait pas toujours comme ça. Il voulait mettre de l'émotion, il avait envie de ce genre de trucs dont je peux très bien me passer.
Le lendemain matin, il avait voulu qu'on aille se promener. C'était l'été, il faisait chaud et je portais une robe courte, un peu moulante, sous laquelle je n'avais pas mis de culotte. Nous avions fait l'amour ce matin-là. Mais la rapidité du rapport m'avait laissée sur ma faim. Je n'avais pas eu le temps de jouir et j'en voulais encore. À vrai dire, toute la journée, je ne pensais qu'à ça. Retourner à l'hôtel ou trouver un coin tranquille pour faire l'amour. Encore et toujours. Et sentir le vent flirter avec mes cuisses à chaque coup d'air m'échauffait encore plus l'entrejambe.
Sur le chemin du retour, il s'est mis à me caresser la cuisse tout en conduisant. Quand il s'est rendu compte que je ne portais rien sous ma robe, il a commencé à me tripoter le clitoris avec le pouce. Puis très vite, il m'a enfoncé un doigt. Excitée par cette masturbation mi-érotique mi-exhibitionniste, je me tortillais sur mon siège pour profiter au maximum de cette petite mise en bouche.
Comme il faisait très beau, nous avions relevé la capote de la voiture et à chaque fois qu'on doublait ou qu'on croisait un camion, je savais que le chauffeur pouvait se rincer l'œil avec la vue plongeante. Ça m'excitait au plus haut point. J'aime être un objet de fantasme. À ce moment-là, j'avais plein de scénarios torrides en tête. Je me préparais psychologiquement à la partie de jambes en l'air qui allait forcément suivre. Le contexte, ça attise le désir.
Nous avons regagné la chambre. Il m'a très vite déshabillée. C'était pas bien difficile. Je ne portais quasiment rien. Lui avait gardé ses vêtements. Il s'est allongé sur le dos et m'a fait mettre à quatre pattes par-dessus lui. Comme s'il voulait me fesser. Mais, au lieu de ça, il s'est amusé à me flatter le minou. Alternant caresses douces du clitoris et pénétration avec un, deux ou trois doigts.
Ça me rendait dingue. Je mouillais tellement qu'il n'avait aucun mal à aller et venir. J'ai détaché les boutons de son pantalon et j'ai baissé son caleçon. Sa queue était déjà bien dure et je me suis mise à la lécher par petits coups de langue rapides. Je narguais son gland. Je tournais autour. J'approchais mes lèvres mais sans jamais le prendre en bouche. Je le sentais se contracter. Il remontait le bassin comme pour me forcer à le prendre.
Devant son insistance, j'ai enfin obtempéré et je l'ai laissé s'enfoncer entre mes lèvres. Toujours à quatre pattes, je gardais l'équilibre en m'appuyant sur un bras. Avec l'autre main, je tenais sa queue bien droite et je le suçais avec un plaisir non feint. De son côté, il me pénétrait avec ses doigts et les va-et-vient me donnaient de plus en plus chaud.
J'avais lâché prise et lui, il cherchait à s'enfoncer encore plus profond au fond de ma gorge. Puis, il s'est mis à faire des mouvements de bassin de plus en plus rapides comme s'il voulait me baiser la bouche. J'étais au top de l'excitation. Je l'ai laissé faire, me contentant de resserrer l'étau de mes lèvres autour de son membre et de laisser son gland frotter sur ma langue à chaque aller-retour.
Il allait de plus en plus vite et ses doigts dans ma chatte suivaient le même rythme. J'étais au bord de jouir. Soudain, il a soulevé son bassin et s'est arrêté. Je sentais le bout de sa queue frémir sur ma langue. "Il va jouir", me suis-je dit. "Il va m'éjaculer dans la bouche."
Les deux secondes d'immobilité qui ont suivi ont paru durer une éternité. Puis enfin, un nouveau coup de bassin et j'ai senti son sperme sortir en jets et m'emplir les joues. Une fois, deux fois, trois fois. Le goût n'était pas âcre mais doux, presque agréable. J'ai tout avalé jusqu'à la dernière goutte. Puis, j'ai léché son sexe de bas en haut pour le nettoyer, pour m'assurer que rien ne m'avait échappé.
Lui ne disait rien. Il avait l'air béat de l'homme qui vient de se répandre entre les lèvres de sa partenaire.
Le bon contexte, la bonne personne, des fois, ça ne tient pas à grand-chose. Ça me manque un peu de ne plus avaler. C'est tellement plaisant de sentir l'homme s'abandonner dans ma bouche. Peut-être qu'un jour, je redeviendrai l'avaleuse de quelqu'un.
Colette se confesse, le podcast érotique, disponible sur toutes vos plateformes d'écoute. Bonne nuit.
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Colette