"Faire l'amour" : nouvelle histoire érotique


Podcast Colette se Confesse

"Faire l'amour"

Lis la confession intégrale de Colette, version écrite, juste ici. Mots crus et humour garantis !

Faire L’Amour

par Yahyah

J’adore dire des gros mots, mais c’est pas tant le fait de le dire, c’est surtout la réaction des gens.

Surtout des coinços qui baisent pas mais « qui font l’amour ». J’adore voir le regard des nanas prudes quand elles m’entendent parler de cul avec des copines. C’est souvent dans les chiottes d’ailleurs, c’est un jeu que j’ai avec ma meilleure amie, juste pour faire chier les autres qui attendent. Elles sont là, maquillées à donf et incapable de sucer correctement. Elles me saoulent ces meufs ! C’est la pire espèce de salope ça je trouve. Des mal-baisées ça. Mais comme disais ma mère, « mal baisée, c’est les mauvaises langues qui disent ça », j’avoue c’est con.

J’adore dire des gros mots, mais quand je nique, j’utilise souvent baiser. Baiser c’est plus fréquent. Ken je suis moins fan, comme toutes nouvelles expressions au début je l’ai utilisé comme une blague, pour faire comme les jeunes, putain ça y est je suis vieille, j’ai 28 ans et y’a des trucs qui m’échappent des fois. Ken ça en fait partie. En attendant j’ai été : défoncée, tringlée, foutrée, ramonée, empalée, cramée, déglinguée, poutrée, sautée, fourrée, niquée...

Et puis je peux en dire autant, j’ai moi-même : pépon, sucé, ridé, usé, rongé, serré, bité, avalé, dominé, vidé, Roombaté... Putain celui-là je l’aime bien. On l’a inventé avec une pote, c’est quand la bouche du mec n’est juste qu’un tapis et que je suis un aspirateur Roomba. Je passe partout sur lui, en mode automatique. L’électroménager ça me connait bien, au lycée j’avais le surnom de Dyson, parce que je cite « je ne perd pas d’aspiration ». Je l’ai même pas sucé le mec qui a eu le génie de m’appeler comme ça... Quel con, je me demande si il ferait toujours le malin aujourd’hui si je débarquais chez lui pendant le barbecue du dimanche avec maman et les gosses, avec la ferme intention de le prendre dans ma bouche. « Salut, c’est moi Dyson, du lycée Bonaparte, tu te souviens ? Dit aux gosses de partir ranger leurs chambres parce que tu vas utiliser ma tête pour te vider les boules, ta femme peut regarder si ça t’aide. Prends-moi dans la niche du clébard comme la sale chienne que que je suis ! ».

J’adore dire des gros mots, mais c’est pas vraiment comme ça que j’ai séduite le type de l’autre soir. Y’a un certain type de mec qui valorise vachement le fait qu’on puisse faire des blagues de caca quand même. « Toi t’es pas comme les autres nanas, tu parles de caca, haha c’est marrant ». Et si je lâche une grosse caisse tu vas autant trouver ça « cool » ? Ils font chier. Mais lui là, au début je l’avais même pas capté lui en plus. C’était juste un client du boulot quoi.

« Bonjour, le panier à légumes se trouve à l’entrée oui, pas besoin de peser je m’en charge, avec ceci ? ». Surtout que là y’avait un grand blond assez canon dans la boutique. Et là se ramène ce petit gars, pas moche, pas ouf non plus, un peu regular. Il arrive sans panier « salut, ça fait combien de champignons 20 grammes de champignons de Paris ? ». Alors déjà le « Salut », non merci. Quand on est bien élevé on dit « Bonjour », merde. J’adore dire des gros mots, mais à sa question à la con je lui ai répondu « ça dépend le genre de trip que tu veux » et il m’a répondu « Ah non en teuf moi les champis ça me fout la chiasse », il rigole comme une hyène à sa blague avant de me parler du risotto qu’il va cuisiner ce soir. Je m’en fout et lui donne ses deux champignons qui font 20 grammes, gratuitement. Bon oui tu m’as fait rire intérieurement mais allez casse-toi, le grand blond a acheté une doubeurre, et sans mentir si sa bite fait la même taille, maman va bien manger ce soir ! Du vent, merci au revoir le petit ! Il me promet de revenir avec les 20 centimes qu’il me doit. Whatever dude. Il se casse, le blond arrive, il pue de la gueule... No way... Décidément cette journée est placée sous le signe de la merde.

J’adore dire des gros mots, mais là, je suis rêveuse à regarder les voitures qui passent. On est le lendemain et l’autre con est revenu. Comment je suis arrivée chez lui le soir même ? C’est relativement simple : j’ai eu envie de me le faire. J’ai bien aimé qu’il réponde à ma phrase :

— « non mais garde-les tes 20 centimes »

— « Okay, bon bah une bière alors pour te remercier d’avoir sauvé mon dîner ».

Je lui demande si il a réussi à baiser la nana d’hier soir pour qui il cuisinait le risotto, il me répond que non c’est pour ça qu’il me propose directement d’aller boire une bière, sans passer par la case cuisine.

Son petit sourire de con m’a fait rire, une nouvelle fois.

On se retrouve au bar après mon shift. On discute, surtout de rien. Il pige mes blagues de merde, ça me plait. J’avais mon perfecto en cuir ce jour là, je sais l’air que ça me donne quand je m’allume une clope en le regardant dans les yeux. J’ai pas de gros seins, mais je connais le pouvoir de ma bouche et quand la clope se glisse entre mes lèvres, que mon regard perfore le sien, je sais qu’il pense à sa queue dans ma bouche. Il est pas comme les autres lui, c’est marrant, j’ai envie de le bouffer là tout de suite. Mais il retarde le moment où il me propose qu’on aille chez lui. Il me fait des regards de séduction et des blagues, et moi je rigole comme une conne. Il rigole à une de ses propres blagues et s’arrêtent d’un coup. Me regarde sérieusement et me dit « il faut que je te demande un truc sérieusement... ». Un ange passe. Enfin plutôt un camion poubelle qui fait un boucan d’enfer, mais c’est la même idée quoi. On se regarde pendant un temps sans rien dire. Puis il brise ce silence trop sérieux et me demande « tu veux une blague zoophile ? », je répond « vas-y » et il me dit « C’est l’histoire d’un mec qui rentre dans un bar », j’explose de rire, il se lève et va pisser... Mais bouffe-moi la chatte la putain de toi !

J’adore dire des gros mots, presque autant que baiser, mais là, au lieu de ça, à son retour des chiottes, il me propose une autre bière et retourne vers le bar. Il revient presque instamment et me dit « merde j’ai oublié de te dire ! » et ses lèvres se posent sur les miennes. C’est chaud, humide et long. Il attrape ma nuque avec sa main, je sens ses doigts effleurer mon duvet, je frissonne, ses lèvres déposent plusieurs petits baisers assez espacés pour que j’ai le temps d’entrer ma langue en lui, il me donne la sienne, je la suce légèrement, il se recule et dépose un dernier baiser, léger, tout doux, comme une signature. Je souris comme une conne, il me sourit et me dit « Bah mince alors, j’ai complètement oublié ce que je voulais te dire, mais ça te dit on squeeze la bière et on va chez moi ? ». FUCK YEAH BITCH

J’adore dire des gros mots, mais là, il est un peu trop mimi lui. Pourquoi il m’attrape la main dans la rue et me la caresse ? C’est pas désagréable en plus. Arrivé chez lui il me prend dans ses bras et me porte sur son lit. J’ai pas le temps de voir la déco qu’il m’embrasse en enfonçant sa langue si profondément qu’on dirait qu’il me présente sa bite. Il me serre tellement fort, que j’ai l’impression de lui avoir manqué, et je ressens ce besoin également de le prendre dans mes bras et de le serrer comme si c’était mon mec. Il me déshabille, embrasse mes seins. Beaucoup de gars que je me tape skipent cette partie, y’a pas grand chose à manger faut dire. Mais lui il passe du temps sur mes tétons. Ils sont durs, et érigés. Il bave et bave et bave sur moi, au moment où ça va pour devenir désagréable il place sa main dans le bas mon dos, puis une autre sur mon ventre. Il malaxe mon ventre et m’embrasse le nombril. Je sens que je suis bloquée entre ses mains alors qu’il se fraye un chemin vers ma chatte. Comme à mon habitude, je suis toute douce, et je sens les poils de sa barbe glisser sur mon pubis, j’adore cette sensation. C’est comme un sucré-salé, ma peau neuve griffée par ses poils drus. Il descend sur moi et entre sa langue, je gémis et mon bassin monte naturellement, ses mains, toujours sur mon dos et mon ventre, m’accompagnent. Comme s’il l’avait prévu. Il attrape une de mes lèvres et l’aspire, puis l’autre, puis je sens sa tête s’appuyer contre ma chatte, comme s’il voulait y entrer en entier. Il entre sa langue et la monte directement vers mon clito par l’intérieur. C’est là que je sens la main sur mon dos s’en aller, il mouille un doigt sur sa langue et touche mon clitoris. Il me tiens toujours le ventre, mais putain qu’est- ce qu’il me fait ? Son doigt humide fait comme une petite ventouse sur mon clit’. Ça me chatouille dans les pieds, j’ai le ventre qui gargouille, mes mains moites accrochent ses coussins. Il libère mon ventre, attrape mes mains et les place de lui même dans ses cheveux. J’entre mes ongles dans son cuir chevelu et je le presse contre moi. Il bouge toute sa tête de haut en bas puis replace ses mains devant et derrière moi. Il fait bouger mon bassin de haut en bas et m’invite à me frotter sur lui. Une fois que je trouve le rythme, il retire ses mains et glisse deux doigts en moi, l’intérieur des doigts tournés vers le haut de ma chatte. Putain le bâtard... Je mouille beaucoup trop. J’aime pas faire la meuf qui couine, mais sa mère je couine comme une pucelle. Là il m’appuie sur le clito par dedans, me le lèche par dehors et son menton passe de haut en bas entre mes lèvres. Je le sens entièrement dévoué à mon plaisir. La symphonie qui s’opère est assez sympa. On entend donc une chanteuse beugler, ses doigts à lui plein de mouille entrer et sortir, mes lèvres baver sur son visage et sa respiration déterminée. Il attrape mes fesses et les presse fortement, il me soulève et entre sa langue dans mon anus. Il y va frénétiquement puis comme ça d’un coup, il s’arrête. Et s’y applique à nouveau mais tout doucement. Ça me rend folle. Il glisse doucement sa langue entre mes fesses, passe par mon anus, glisse doucement vers mes lèvres et place sa bouche sur mon clitoris. Tout doucement je le sens prendre la peau autour du clito entre ses dents, tout léger, tout mignon, il me mordille, ça me fait peur, j’ai peur qu’il dérape, mais non il me lèche, me lèche et me lèche... Quand il me repose délicatement sur le lit, je sens ses draps complètement trempées. Il y retourne à fond, je bouge mon bassin sur son visage. Je climax et squirt... Putain, putain, putain, putain... Sa mère... Faut que je le suce là, je le veux dans ma bouche tout de suite. Je vais la lui bouffer sa teub il va rien comprendre.

J’adore dire des gros mots, mais là, pas le temps de parler. Je monte sur lui, je le déshabille, il m’aide pour gagner du temps, ça se voit qu’il veut aller entre mes lèvres. Je découvre sa bite, il est circoncis, je sais alors ce dont il a besoin. Je pose mes lèvres sur son gland et je l’enfonce directement au fond de ma gorge. Il gémi, les circoncis adorent les gorges-profondes. Il attrape ma tête et me bloque contre lui, j’adore me sentir collée à lui. Il est à ma merci, je l’ai entièrement dans ma bouche, je le contrôle, je sens ses muscles se raidir. Je recule ma tête, il prend mon visage et me regarde. Sa bouche ouverte et haletante, on ne parle pas, on se regarde, pour de vrai. Je suis belle dans ses yeux, ça se voit. Il me voit. Je le vois. J’y retourne, il prend sa tête dans ses mains, se contracte, bouge, j’ai des remontées de salive. Son lit est encore plus trempé, on patauge dans la transpiration, ma mouille, sa salive et la mienne. Sa bite en est recouverte. Je le branle, j’y vais encore et encore avec ma tête, encore et encore...

Il a quand même un bon morceau, c’est pas si simple, j’ai besoin de reprendre un peu mon souffle. Mais je sais qu’il veut m’entendre gaguer, le son arrive et ça le rend bestial. Il m’attrape la tête, me retourne sur le lit, il se met debout, fait pencher ma tête dans le vide et baise ma tête. Putain j’aime ça, j’adore le sentir me défoncer la bouche. Il prend mes seins tout en le faisant. Puis me doigte. Mes dents raclent sur sa peau, il gémi d’un plaisir douloureux. Je le repousse sur le lit et lui fouette les fesses. Il se retrouve à quatre pattes, je lui écarte le cul et entre ma langue dans son anus. Il aime ça. Je lèche ses couilles par derrière, et je le branle alors que ma langue fait des vas-et-viens en lui. Il s’attrape lui même la queue et tire dessus, il se la secoue, j’attrape ses fesses, j’entre mes ongles dans sa chair, et je vais de haut en bas avec ma tête dans son anus trempé par ma salive. Il enfonce sa tête dans son coussin, il beugle. Il se branle très vite et très fort, il se relève, je me met à genoux devant lui, il me regarde dans les yeux, je le regarde, j’ouvre la bouche et tire la langue.

Sans un mot il comprend ce que je veux. Je veux le gouter et l’avaler. Sans demande verbale aucune il comprend que je veux que ses yeux regardent les miens au moment précis de son éjaculation. Je veux assister à cette seconde où son coeur va envoyer du sang dans son cerveau, où son visage va grimacer, où ses yeux vont se dilater pile poil au moment où son sperme sortira de son gros gland et viendra atterrir sur ma langue encore acide de lui avoir lécher le cul.

J’adore dire des gros mots, mais là, quand il s’est masturbé sur mon visage, son regard perdu dans le mien, tout avait bon goût, tout était beau, tout était doux et poli. Tout était précis et sauvage. Tout était rythmé et chaotique. Tout était comme une évidence. Après nous étions tout essoufflés, nous étions au ralenti. Il s’est assis en face de moi, il m’a prit toute entière entre ses bras et ses jambes, il respirait doucement dans mon oreille, il m’embrassait la nuque, il me serrait fort. Nous étions là, unis.

J’ai adoré ne pas avoir besoin de gros mots... Je savais que je venais de faire l’amour.


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