Je connaissais Colette depuis quelques jours déjà… une rencontre via des amis communs, elle, jeune avocate de 28 ans, moi, Directeur Financier de 48.
J’avais été séduit par son sourire et la manière dont elle m’a regardé à cette soirée Networking… L’allure sage, tailleur strict, serviette de juriste… Cette douce apparence de petite sainte nitouche, mais je supputais le feu couvant sous la glace…
Elle me demande de la retrouver pour notre deuxième rencontre dans un café tendance porte d’Auteuil, près de son appartement… Ambiance tamisée, décor colonial... Une immersion dans le Saigon d’avant la réunification.
Nous apprenons à nous connaître, nous échangeons sur nos projets en cours… Discussion somme toute banale entre professionnels….
Elle m’invite à l’accompagner jusqu’à chez elle à quelques pas.
Nous marchons sagement rue Michel-Ange en ce soir de début d’automne… nous restons silencieux… À ce moment, je me demande si je vais la quitter sur le trottoir ou, qui sait, monter avec elle… silence… seul le bruit de nos pas résonne dans la rue quasi déserte…
À un moment, sans crier gare, elle s’arrête brutalement, se tourne vers moi et me dit simplement, brutalement, presque de manière candide…
(voix de femme) Fred, il faut que tu me défonces la chatte maintenant…
Je suis interloqué par sa franchise, la crudité de ses mots...
« Pardon, je n’ai pas compris ? »…
Oh si, j’avais bien compris mais souhaitais réécouter ses mots, pour le plaisir…
(voix de femme) « Fred, je veux que tu me défonces la chatte… maintenant… ici… »
À aucun moment dans notre échange au bar, nous n’avions abordé le domaine du désir et de notre attraction mutuelle que je sentais (je sais quand une femme me désire, le regard ne trompe pas…)
« Marchons, Colette… »
Je sens un désir fou m’arracher la tête… Comme l’a écrit Roger Dumas, psychanalyste, dans son livre sur la sexualité masculine, nous bandons pour deux raisons : les scénarii, situations génératrices de pulsions… et le désir en face, exprimé, brut…
J’ai rarement ressenti un tel échauffement des sens… je sens mon sexe durcir dangereusement… j’en arrive à avoir du mal à marcher.
Trouver un endroit safe au plus vite… nous nous dirigeons vers une allée privée heureusement ouverte, sans digicode…
La nuit commence à poindre…
J’avise un coin sombre, une entrée de parking privée à 15 mètres de l’allée éclairée par des réverbères…
Colette m’embrasse fougueusement, sans artifice… nos langues se mêlent… comme me le dit une amie « Tu sais, quand on embrasse bien, on baise bien » …
Je suis emporté par les sensations que nos deux langues me donnent… elle met la main sur mon sexe toujours comprimé, vérifiant ainsi que je suis réceptif à son désir…
Je suis étonné de la voir prendre, si j’ose dire, les choses en main… Elle sort ma queue et se penche pour me sucer… Mon dieu… j’ai l’impression de ne plus avoir prise sur mon engin…
Je repense à la phrase de Victor Hugo, disant à son petit-fils au crépuscule de son existence, et montrant son entrejambe : « Jusqu’à 80 ans, je pensais que c’était un os » (rires)
Je n’ai jamais senti une telle pulsion… je ne sais plus où je suis… elle engloutit ma queue et la déguste comme une glace… alterne vas et vient, regard et masturbation douce et ferme… Le divin triptyque.
Mon dieu… mon sexe est dressé tel un glaive médiéval conquérant, tel une hampe de drapeau…
Moi qui suis dominant, je suis à sa merci…
Elle se relève, se retourne et remonte son tailleur tout en ôtant sa culotte… ses fesses me sont offertes ce soir-là… je m’y rends de suite… on ne peut refuser une telle invitation…
Jamais n’ai-je reçu un tel accueil… elle est totalement dilatée.
Elle me reçoit simplement… les préliminaires, elle les a conçus seule…
Je vois devant nous, dans la zone éclairée, des passants rentrant dans leurs demeures bourgeoises… ils ne peuvent imaginer qu’à une très courte distance, un couple baise furieusement…
Aucun son ne doit sortir de nos bouches, au risque de nous faire repérer… je sens qu’elle veut gémir, tout son corps et son visage qu’elle tourne vers moi expriment une volonté simple : une plus grande fermeté dans mes assauts…
J’introduis mes doigts dans sa bouche pour réfréner un hypothétique cri.
Intérioriser nos désirs, voilà quelque chose que je fais rarement… je ne sais plus où je suis… j’ai l’impression que ma queue vit sa propre vie, me nargue… « Eh oui tu vois, tu n’as plus prise sur moi » (rires)… comme si elle me parlait, je souris à cette dissociation physique… « Le sexe qui parle » ? … mais c’est le titre d’un film porno des années 70… sauf qu’à cette époque, c’est le sexe féminin qui s’exprimait…
Je continue à la prendre âprement, sans fioriture aucune… je n’ai jamais compris comment une femme pouvait sentir le moment où je ne pourrais me retenir.
Prestement, elle sort du LEGO humain que nous assemblions, cette belle improvisation dont elle est l’initiatrice… se retourne tout en me souriant, s’agenouille… et attend sa récompense, ouvrant sa bouche…
Rarement ai-je eu autant de plaisir à jouir… elle ne me quittant pas des yeux…
Après cette libération, elle se redresse et, sans crier gare, m’embrasse…
La sensation d’avoir ma propre semence en bouche est nouvelle… aucune fille n’a jamais osé… surtout sans me demander si j’aimais cela…
Nos langues jouent avec… étrange sensation que ce baiser goûteux… nous dégustons ensemble… elle continuant à me branler doucement…
Cette simultanéité me bouleverse… je quitte l’espace-temps, nous sommes seuls au monde… SEULS AU MONDE …
Nous nous regardons, effarés par notre propre témérité… elle me sourit…
Je suis incapable de faire entendre raison à mon sexe récalcitrant… j’enlève mon manteau pour cacher au commun des mortels cette queue indépendante, presque insolente et qui se refuse à retourner là où elle doit demeurer dans un endroit public.
Nous nous dirigeons lentement vers sa tanière…
Je n’ai jamais oublié Caroline… Le sait-elle ?
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A très bientôt,
Colette